De son jeune enfance, Lorraine se lance dans les activités culturelles, à l’école comme à l’église. Elle pouvait donner les meilleurs d’elle pour se prouver en se formant comme autodidacte à la danse.
En 2010, la jeune talentueuse et ambitieuse Lorraine Malela voit ses sentiments se développés et évolués pour la musique. Et de là , les angles du carré logique s’ouvrent pour elle. « J’ai commencée au Ballet okapi avec la danse seulement« . Et témoigne d’avoir été motivée par sa cousine Marlène Makulu qui jouait à cette époque au ballet national de la RDC. « Et arrivée en 2013 j’intègre le Ballet Longo jusqu’à nos jours , où je fais la danse et joue à la percussion « . Ce qui l’a amenée à prendre part au Festival Printemps des Arts de Théâtre des verdures organisé à Kinshasa, RDC à la même année.
Évolution des talents et repositionnement
« Je suis la seule musicienne percussionniste et danseuse dans ma famille. Je joue le tam-tam, lokole- gong, le triangle, les claves et d’autres instruments. Mais mon instrument principal est le tam-tam« .
Avec son paquet de savoir artistique, Lorraine MALELA s’aligne désormais sur les grandes affiches. Elle participe consécutivement à la 3ème, 4ème , 5ème et 6 ème édition ( 2015-2018)du « Festival Mbonda Elela » au Centre Wallonie-Bruxelles et à l’Académie des beaux-arts de Kinshasa .
Une habituée du centre Wallonie-Bruxelles de kinshasa avec plusieurs spectacles par la suite.
Pour ces percussions et danse dans le Ballet Iso Ngombe, ballet longo mais aussi dans les grands moments événementiels où l’on pouvait remarquer ses pas sur scène et apprécier ses rendus rythmés en orchestre avec ses coéquipiers. A l’inauguration de l’hôtel du gouvernement de la RDC, à la cérémonie d’ouverture de 9 ème édition du jeu de la francophonie, à l’inauguration de l’immeuble de centre financier à kinshasa,..
cette artiste se déchaine toujours pour communier avec le public.
Une de rares artistes percussionnistes qui ne cesse de se former. Elle prend part aux ateliers de formation et partages ses expériences comme elle acquiert sans complexe pour sa perfection.
On a remarqué son implication et participation à lubumbashi où elle a été sélectionnée en 2022 au projet » Kipona music » , un label féminin dédié aux arts de la scène qui a pour objectif d’encourager les artistes féminines.
« En décembre 2023 , j’ai été sollicitée par un orchestre ici à Kinshasa qu’on appelle Kin Orchestra. c’est un orchestre 100% Femmes, oú j’ai jouée à la percussion » déclare MALELA Lorraine, la noblesse.
Une fille de bonne manière, qui apprend aux côtés des géants.
« Je travaille également avec mon idole, l’artiste huguembo la reine des percussions, dans son projet HUGUEMBO ET LES PROFESSEURS là je fais la danse et la percussion aussi ». Ce faisant, Lorraine reste ouverte pour des échanges pouvant apporter un plus sur sa carrière... J’ai un grand cercle d’amis qui me motivent et me prodiguent de conseils. Futur M, Sarah Solo, Pams Basse … et même des diplomates ».
Pour 2024, elle a été dans Spectacle de danse Buha au centre Wallonie Bruxelles Kinshasa. A la Fête de la musique à l’institut français de Kinshasa. Et dans son agenda il indiqué d’autres programmes qu’elle est à appelée à honorer avant la fin de l’année. Elle est dans la fourchette entre répétitions, formation, concerts et festival pour arroser son art et talent.
Il est à noter que Lorraine MALELA est une figure artistique inscrite dans plusieurs registres de festival et grands spectacles du Congo kinshasa : Festival Rumba-parade , Nuit des percussions , le Spectacle Ballet Polyphonie des Chants populares.
Très présente dans les soirées artistiques aux centres Wallonie-Bruxelles, palais du peuple, halle de la gombe,…. comme elle vise la perfection , avec ses entrées et contacts grâce à son art et talent. Elle a le soutien de public de la RDC et de l’étranger, qui comptent en elle pour les meilleurs dans la danse et le son.
By MENGANDELO Futur .
2 réponses
Mes sincères encouragements m’y sisyer🥰😘
Parametre-drc.info vous remercie pour la considération et commentaire laissé sur la publication de Lorraine Malela